Vous composerez l'histoire de votre personnage en un minimum de vingt lignesLorsque j’étais petite ma vie était toute tracée, j’étais la fille de Caroline de Monaco et d’Ernst-Auguste de Hanovre ainsi j’étais née pour être princesse, ne rien faire de ma vie, vivre sur l’argent de mon oncle, et faire des saluts aux grandes occasions. Mais je n’ai jamais reçu une telle occasion, je n’ai jamais été comme ça, je n’ai jamais eu cette envie et je n’ai pas été élevé pour rien faire. Ma mère m’a traité comme toutes les petites filles, j’ai d’ailleurs vite dû me débrouiller seule car l’attention qu’avait mes parents s’est vite tournée vers ma petite sœur. Je n’ai pas été malheureusement durant mon enfance, ni même durant mon adolescence, si ce n’est que j’ai toujours été une fille très grande et tous mes petits camarades se moquaient de moi. Les enfants sont vraiment très méchants entre eux, on ne peut pas imaginer à quel point. Une girafe, une grande perche, certainement rien de toute cela mais j’ai quand même atteint le mètre soixante quinze ce qui n’est pas rien. Ce n’était pas la seule raisons de toutes ses moqueries, intelligente, on m’a également jugé pour être une fille trop concentré dans ses études. Un tragique évènement à bien faillit ruiner ma scolarité si parfaite, lors de mon année de CM2 j’ai souffert d’une myélite. Une infection de la moelle osseuse qui m’a paralysé du jour au lendemain. Mes parents ont été très inquiets et moins présents qu’ils le souhaitaient puisque ma petite sœur était en bas âge. J’ai connu l’hôpital, la rééducation et toutes ces choses ont fait que j’ai acquis énormément en maturité. Après cet évènement, j’ai redoublé d’efforts alors que toutes les filles de mon âge allait en boite de nuit, avaient des copains, moi je ne savais pas ce que c’était, je ne le sais toujours pas. Il faut dire que choisir un domaine tel que la médecine n’était pas facile. Je n’ai jamais redoublé jusqu’au bac, je n’ai jamais connu l’amour même si on dirait que je suis une experte dans le domaine car j’adore conseiller les autres, il faut dire que je suis toujours solliciter. Si je fais des études de médecine ce n’est pas un hasard, aider les autres, soutenir les faibles, protéger ceux qui ne pouvaient pas le faire eux même, ça avait toujours été mon crédo. Devenir médecin et plus précisément urgentiste après un stage était devenu une évidence mais ma passion de toujours la littérature ne me quittait pas. Lors de mon arrivée en cinquième année j’ai décidé de faire un stage dans un pays étranger. C’est donc pour ce premier semestre de cinquième année, puisque j’ai fait deux premières années pour obtenir le concours de médecine, que j’ai décidé d’aller à New York. New York, une ville à la pointe de la technologie, j’avais choisit cette ville pour une nouvelle opération du cœur que mon université française avait mis en avant. Du coup j’ai quitté Monaco, j’ai quitté mes parents, je pensais que ce serait juste pour quelques temps mais finalement je suis tombée amoureuse de New York aussi parce que mes études demandaient moins de travail qu’en France. Du coup j’ai commencé à découvrir la ville, à sortir, à vivre et je n’ai plus voulu quitter ça, je n’ai plus voulu quitter ce pays. J’ai informé mes parents de ma décision et je suis sûre à présent de vouloir y vivre pendant plusieurs années et enfin profiter de la vie et non plus que des études.